L’ancienne ministre de la Santé Roselyne Bachelot a été décorée du titre de chevalier dans l’ordre de la Légion d’honneur, lors de la promotion du 14 juillet .
Roselyne Bachelot, ancienne femme politique (UMP), sœur de Jean-Yves Narquin, maire d’extrême droite de Villedieu-le-Château, devenue chroniqueuse TV (recase-toi pauv’ con) et qui se verrait bien journaliste, (gageons qu’à ce rythme, la carte lui sera décernée rapidement), a été dans le viseur des IADE, durant l’année 2010.
Parfaitement incompétente sur le dossier, nulle et mal conseillée, elle a montrée sa plus parfaite méconnaissance des IADE en affirmant que l’on faisait des examens biologiques au bloc opératoire.
Par son mépris, son refus de nous recevoir, malgré des demandes répétées, (les sportifs étaient mieux traités), il aura fallut le "coup" de la gare Montparnasse pour qu’enfin, la dame daigne entendre les autres professionnels de l’anesthésie.
Mais en France, il est de coutume de récompenser l’impéritie. Et cette nomination a de quoi surprendre la "base", mais semble logique pour la récipiendaire et ses affidés. Rappelons toutefois que la Légion d’honneur récompense depuis ses origines “les mérites éminents militaires ou civils rendus à la Nation”.
De quels mérites parlons-nous ? Mystère insondable.
Pour tout ses actes manqués, sa loi HPST, son protocole scandaleux, ses errements lors de la grippe H1N1 et son inefficacité, la profession lui décerne à l’unanimité, (une légion de donneurs), le titre de grand croix dans l’ordre du néant.
pour sa fin
AB