Société Française des Infirmier(e)s Anesthésistes
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Depuis son iPhone, son iPad et même son iPod Touch, il est désormais possible de suivre sa tension artérielle. Avec iHealth de la société Magnien, les particuliers surveillent eux-mêmes leur tension, à l’aide du brassard de tensiomètre, de la station d’accueil et de l’application de suivi qui composent ce système.

Non seulement, iHealth assure la surveillance de sa tension artérielle mais les données enregistrées par l’appareil et son application dédiée peuvent être transmises à sa famille notamment, mais surtout à son médecin pour que ce dernier puisse suivre l’état de son patient.

Le système iHealth de surveillance de la tension artérielle est disponible au prix de 99,99 euros sur le site Iheath99.fr. Les particuliers trouveront ensuite cet appareil en pharmacies à compter du 20 avril prochain.

source le parisien

Une consultation chez son médecin coûte moins cher et on peut parler avec lui. Comment dit-il ça Steve Jobs ? Ah oui, ceci est une révolution.

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Suite à la publication des 77 médicaments publiés par l’afssaps

Liste des 77 médicaments sous surveillance renforcée de l’afssaps

Inefficaces, inutiles ou dangereux, cette liste ne faisait pas la distinction entre eux.

l’UFC Que Choisir s’est intéressée à cette liste des 77 médicaments et a décortiqué chaque produit un par un. Il en ressort une hiérarchisation précise et surtout une liste de 31 médicaments inefficaces.

liste-medicaments inutiles ou dangereux (UFC que Choisir)

Parmi eux, huit devraient même être interdits à la vente selon l’association. « Pour ceux-là, l’heure n’est plus à la surveillance mais au retrait. Pourtant leur balance bénéfices/risques défavorable est souvent connue depuis des années ».

Ces médicaments sont : l’Actos (utilisé pour traiter le diabète), l’Arcoxia (arthrose, rumathologie), l’Equanil (sevrage alcoolique), l’Hexaquine (crampes), le Nexen (douleur), le Valdoxan (dépression), le Vastarel (angine de poitrine, vertige, acouphène) et le Zyban (sevrage tabagique). « Plusieurs de ces médicaments sont d’ores et déjà interdit à l’étranger  », continue le magazine.

Pour le Vastarel, le magasine explique ainsi que « la liste des effets indésirables est très longue » : « Syndromes parkinsoniens, troubles sanguins et cutanés, malaises, vertiges (...) Ce médicament sans intérêt démontré devrait être retiré du marché  ». Concernant le Nexen, « les cas d’hépatite grave se sont accumulés depuis sa commercialisation il y a plus de 25 ans (en 1998 pour la France). Pour la revue Prescrire, il est inacceptable que ce médicament soit encore sur le marché ».

Outre ces huit qui devraient être bannis selon l’UFC, on retrouve parmi les 31 sous surveillance la pilule anti-obésité Alli, le Multaq ou encore le Champix.

source francesoir

Comment dit-on déjà ? Ah oui ceci est une résolution

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Handicapé des jambes, Serge François a vu son mal disparaître lors de son pèlerinage.

« Il s’est passé quelque chose, tu verras. » Faute de monnaie suffisante, Serge François se voit obligé de raccrocher le combiné d’une cabine téléphonique de Lourdes et laisse dubitative sa femme, Marie-Thérèse. Mais le lendemain, elle comprend très vite en voyant son mari descendre du train du pèlerinage diocésain d’Angers. Il est visiblement « guéri ».

À la suite de complications chirurgicales (fibrose postopératoire) liées à deux opérations, une hernie discale avait fini par lui faire partiellement perdre l’usage de la jambe gauche. Serge François se déplaçait donc avec une grande difficulté. Seul un système sous-cutané injectant régulièrement un mélange à base de morphine lui permettait d’atténuer un peu sa douleur, constante. Mais devant la grotte de Lourdes, le 12 avril 2002, sa vie a changé.

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source le figaro

Comment dit-on déjà ? Ah oui ceci est une absolution

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Depuis le 1er mars, le programme SternRed, un programme collaboratif de production d’hématies (globules rouges) à partir des cellules souches, a démarré en France. Ce projet ambitieux associe Cellectis -le spécialiste de l’ingénierie des génomes-, l’Etablissement Français du Sang (EFS), l’Université Pierre et Marie Curie (UPMC), Bertin Technologies et le Centre d’Etude des Cellules Souches (CECS). Pendant sept ans, ce collectif va créer à large échelle des globules rouges à partir de cellules souches pluripotentes induites.

L’objectif de ce projet est de "permettre d’améliorer la prise en charge des patients avec un groupe sanguin rare, transfusés de façon répétée et posant des problèmes transfusionnels complexes", a indiqué le Pr. Gérard Tobelem, Président de l’EFS.

Le programme SternRed recevra au cours de son septennat de travail 9,3 millions d’euros d’Oséo à travers son programme d’Innovation Stratégique Industrielle.

source linternaute

Comment dit-on déjà ? Ah oui, ceci est une contribution

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Live and let die

La fontaine de jouvence ne serait qu’un mythe ; pas tant que ça au regard de cette dernière découverte réalisée par des chercheurs du Laboratoire de biologie moléculaire de la cellule. Ces derniers révèlent dans la revue Plos Biology l’existence d’un puissant gène de la longévité, nhr-80, impliqué dans de nombreux processus liés au métabolisme et à la résistance au stress. De ce fait, leur manipulation a de profondes conséquences sur la qualité du vieillissement.

L’équipe du Laboratoire de biologie moléculaire de la cellule (CNRS/Ecole normale supérieure de Lyon/Université Claude Bernard Lyon 1) menée par Hugo Aguilaniu a effectué des tests sur C. elegans, un ver modèle très utilisé par les généticiens, dépourvu de ses tissus reproducteurs [Ndlr : leur suppression induit aussi une augmentation de leur durée de vie]. En mutant le gène nhr-80, les vers ne voient pas leur longévité augmenter. Pour ceux, qui ont ce même gène surexprimé, leur longévité explose de 150%.

Pour les scientifiques, nhr-80 place sous tutelle des gènes très importants. Ils ont découvert le gène fat-6 codant pour une enzyme capable de transformer un acide gras saturé (l’acide stéarique) en un acide gras insaturé (l’acide oléique). Les vers nématodes ayant ce gène fat-6 muté n’ont plus une progression de leur espérance de vie. Par conséquent, reste à déterminer comment une augmentation du taux d’acide oléique induit une réponse adaptative débouchant sur une longévité accrue.

Dès que les mécanismes induits par les gènes nhr-80 et fat-6 seront connus et compris, les chercheurs espèrent mettre au point des médicaments capables de lutter rapidement contre un ensemble des maladies liées à la vieillesse comme la neurodégénérescence, les cancers, l’ostéoporose...

source linternaute

Comment dit-on déjà ? Ah oui, ceci est une dévolution

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Bataille pour une couronne… dentaire. Des associations de patients et de consommateurs et, derrière elles, des assureurs complémentaires - qui remboursent la plus grande part de la facture - avaient obtenu en 2009 que les dentistes soient tenus de faire ­figurer sur leurs devis le prix d’achat des prothèses (couronnes, bridges…). Une façon de faire pression sur les prix des praticiens en montrant combien de fois ils font la « culbute » sur ces prothèses, alors que les soins prothétiques sont très mal remboursés par la Sécu. Mais cette mesure de la loi Bachelot, jamais appliquée, a été effacée au Sénat dans le cadre de la proposition de loi Fourcade (nos éditions du 18 février) . L’arrivée de ce texte à l’Assemblée promet de nouveaux combats acharnés, et pas forcément sur des clivages droite-gauche.

Le ministre de la Santé, Xavier Bertrand, a expliqué au Sénat que la mention du prix d’achat était inapplicable et facilement contournable. Il rejoint les arguments du syndicat de chirurgiens-dentistes CNSD, qui juge surtout que cela peut donner à croire que les dentistes gonflent abusivement leurs tarifs. « Une couronne cé­ramique s’achète 100 à 150 euros. À part dans quelques quartiers de ­Paris, 80 % ou 85 % des dentistes facturent leur prestation 500 à 600 euros, sur lesquels ils doivent payer leur assistante, les charges diverses, et amortir leurs investissements. Il leur reste environ 200 euros pour rémunérer trois séances d’une demi-heure, affirme le Dr Roland L’Herron, président du syndicat. Le devis est depuis longtemps obligatoire, et aucun ­patient n’est obligé d’en accepter un à 2000 euros ! Le vrai problème est que l’Assurance-maladie ne ­rembourse que 75 euros. » En outre - comme l’a reconnu le sénateur communiste Guy Fischer - les dentistes perdent de l’argent sur les soins conservatoires (caries, détartrages…) dont les tarifs ne sont pas libres.

La CNSD se montre toutefois prête à un effort de transparence, quitte à aller contre une partie de sa base. Elle soutient l’amendement d’Yves Bur (UMP, Bas-Rhin), qui sera examiné ce soir ou demain en commission. Celui-ci prévoit que le praticien tienne « à disposition du patient les documents garantissant la traçabilité » des prothèses et « le lieu de fabrication, “dans” ou “hors” Union européenne ». Même si les chiffres manquent, dentistes et laboratoires semblent de plus en plus nombreux à importer des prothèses de Chine, voire de Madagascar, dans la plus complète opacité vis-à-vis des patients. « Il y a une forte demande d’information sur ce point », assure le député et… ­ancien dentiste.

Les complémentaires n’ont pas dit leur dernier mot.

source le figaro

Comment dit-on déjà ? Ah oui, ceci est une involution (État d’une chose qui est roulée en dedans. )

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Piliers de la réforme du système de santé, les 26 Agences Régionales de Santé ont été créées le 1er avril 2010 par la loi Hôpital, patients, santé et territoires du 21 juillet 2009. Proposer un service public de santé régional, unifié et simplifié, permettre une approche globale de la santé et favoriser des politiques de santé ancrées sur un territoire, tels sont les objectifs des ARS. Grâce aux larges responsabilités qui leurs sont conférées, une nouvelle dynamique de pilotage s’est constituée au cours de cette première année.

Créés il y a un an, les ARS assurent le pilotage de la santé publique en région dans trois champs d’intervention : la veille et la sécurité sanitaires ; la définition, le financement et l’évaluation des actions de prévention et de promotion de la santé ; l’anticipation, la préparation et la gestion des crises sanitaires. Le rôle des ARS est également de réguler l’offre de santé pour mieux répondre aux besoins de la population et garantir l’efficacité du système de santé.

Les premiers mois ont été consacrés principalement à la mise en place de l’organisation, la constitution des équipes, l’installation des instances et la recherche de locaux. Ces instances de démocratie sanitaire ont été mises en place pour rapprocher l’autorité publique des usagers, des établissements et des professionnels de santé.

Les ARS, qui ont signé leurs contrats pluri-annuels d’objectifs et de moyens le 8 février 2011, ont également engagé des chantiers stratégiques et « métiers », notamment la préparation de leur projet stratégique de santé. Pour ce faire, elles ont arrêtés 108 territoires de santé pour être au plus près des besoins de la population.

Les prochaines échéances ont été fixées pour 2011 : l’élaboration des plans stratégiques de santé pour avril, les schémas régionaux pour septembre et les PRS pour décembre. Aujourd’hui, un premier constat peut être dressé : non seulement la continuité de service a été assurée, mais les agences sont concrètement engagées sur leurs missions de fond.

source enviro2b

Comment dit-on déjà ? Ah oui, ceci est une évolution

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Cinq jours après la date d’arrivée estimée du panache radioactif au-dessus de l’Hexagone, l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) estime toujours que les rejets de la centrale nucléaire de Fukushima n’ont pas de conséquences sanitaires en France. Le niveau de radioactivité enregistré dans l’air du 24 au 28 mars n’a d’ailleurs pas suffisamment augmenté pour être détecté par le réseau de 163 balises de l’IRSN qui contrôle en continu la qualité de l’air en métropole.

Cela n’est toutefois pas suffisant en soi pour conclure à l’absence de risque sanitaire, juge la Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité (Criirad). Une surveillance plus fine de l’air, nécessitant des analyses de prélèvements en laboratoire réalisés en quelques jours, atteste de la présence du nuage au-dessus de l’Hexagone. Des traces anormales d’iode 131, un radioélément pouvant provoquer des cancers de la thyroïde à partir d’une certaine exposition, ont été détectées sous forme de particules sur des prélèvements réalisés entre le 26 et 27 mars à Orsay et au Vésinet, en région parisienne. Leurs valeurs sont inférieures au millibecquerel par mètre cube, (de l’ordre de 0,10 à 0,23 mBq/m3)

Lire la suite source le Point

Comment dit-on cela déjà ? Ah oui, ceci est une pollution.

AB