Société Française des Infirmier(e)s Anesthésistes
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Un yaourt au CHIPS

Hôpital intercommunal de Poissy-Saint-Germain. La polémique autour du « CHIPS » prend un
tour politique. Le Directeur général de l’Agence Régionale de Santé (ARS) d’Ile-de-France a
demandé le départ du directeur du CHIPS, ainsi que l’arrêt du projet de déménagement des deux
hôpitaux sur un site unique, à Chambourcy. Deux décisions que conteste Pierre Morange, député-
maire de Chambourcy. Alors que ces polémiques font rages, l’établissement voit son déficit se creuser
et ses chances de déménager sur le site de Chambourcy se réduire un peu plus.

source :Le Quotidien du médecin

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Hôpital géant : des couacs à 10 millions d’euros.

Inauguré le mois dernier, l’imposant Centre
Hospitalier Sud Francilien
entre Corbeil-Essonnes et Evry, est déjà au cœur d’une polémique. D’après le syndicat SUD-Santé, les
bâtiments ne répondent pas à certains impératifs inhérents au bon fonctionnement d’un hôpital. La direction de l’établissement estime le coût des mises en conformité à 10 millions d’euros.

source : Le Parisien

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A quand des ordinateurs pour tous les enfants hospitalisés ? En 2001, le Ministère de la Santé
mettait en place un groupe de travail qui devait faciliter l’accès à du matériel informatique aux enfants hospitalisés mais il n’en est toujours rien, d’où l’appel lancé par l’association « Docteur Souris », créée
en 2003 et dont le but est de faciliter l’achat et la maintenance d’outils informatiques adaptés aux enfants.

source :Aujourd’hui en France

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Comment les laboratoires freinent les ventes génériques

La progression des ventes
de médicaments génériques a décéléré en 2010. En France, les génériques représentent moins d’un
médicament remboursé sur 4 alors que l’Allemagne ou l’Angleterre en consomment 3 fois plus. En
cause, les laboratoires pharmaceutiques fabriquant les médicaments originaux et les médecins qui ne
prescrivent des génériques que sur 30% des ordonnances. Ceux-ci sont pourtant la copie quasi
conforme des originaux (la réglementation admet une variation de 20% du principe actif), 55% sont
fabriqués en France et leur prix ne compte que le coût de fabrication. Le Dr Leicher, président du
syndicat MG France, pointe directement du doigt les laboratoires et leurs « stratégies d’entrave » :
influence du visiteur médical, dénigrement, pratique du « me too » (mise sur le marché d’un nouveau
médicament qui est en réalité un dérivé d’un médicament phare dont le brevet expire) et pratique de
« prix prédateurs » proches du coût de fabrication. Selon Etienne Caniard, président de la Mutualité
française, s’il était automatiquement prescrit, le générique permettrait de faire économiser à la
collectivité et aux patients 600 millions d’euros.

NDLR : Les blocs opératoires utilisent de plus en plus de génériques, tant hypnotiques, qu’antibiotiques et autres...

source :Aujourd’hui en France

A part ça ? Tout va bien non ...

AB