Le site de la SOFIA fait peau neuve. Il n’avait pas vraiment le choix suite à la mise à jour des serveurs de notre hébergeur, rendant l’architecture de son squelette (le support graphique) obsolète.
Mis en place en août 2006 pour une naissance officielle le 1er novembre 2006, il était temps de rénover l’ensemble.
Nouvel aspect, nouvelle couleur, abandon du suffixe IADE pour les rubriques.

L’essentiel est préservé. Un travail de près de 17 années au service de la profession IADE.

Un site toujours très visité pour le bénéfice de beaucoup, même si le retour vers le travail effectué est insuffisant. Publier c’est aussi une forme de pouvoir que possèdent d’autres composantes péri-professionnelles. Publier c’est exister. Les IADE l’ont totalement oublié voire ne l’ont jamais intégré à leur schéma d’exercice. Il n’y a pas que dans les luttes professionnelles que la profession doit être visible.
Nous n’existons pas seulement par une reconnaissance de la pratique avancée, mais aussi et surtout par une exposition permanente dans tous les espaces de notre exercice professionnel. C’est pourquoi il faut investir ces espaces qu’offre notre art et sans doute délaisser certains réseaux sociaux pour des publications plus propices au bénéfice de tous.

La SOFIA a un site pour être la vitrine des IADE. Des rubriques dédiées existent et sont à la disposition de chacun qui se sent investi et dépositaire d’un savoir qu’il souhaite valoriser en le transmettant. Les experts sont les IADE de terrain. Qui pourrait prétendre que nous ne le serions pas ? Pour en être convaincu, il suffit de se lancer. Le site n’est pas seulement une bibliothèque ou un libre-service. Il doit être enrichi par l’apport de tous les IADE de France et ultra-marin.

La SOFIA c’est aussi la mise en place d’une structure aux statuts déposés en préfecture, rendant son existence tout autant légitime que certaines structures éphémères, dénuées de statuts et sans règlement intérieur, se prétendant représentatives au nom d’un nombre relatif et d’une notion démocratique aléatoire à la nomination de ses représentants, issus non d’un vote, mais d’un fait du prince en quelque sorte.
C’est d’ailleurs ce qui a porté la SOFIA à siéger au CNPIA avant de s’en éloigner devant une gestion manquant de démocratie, soutenue principalement par une catégorie professionnelle qui ne peut représenter les IADE de terrain qu’elle n’est pas.

La SOFIA c’est un partenariat avec divers ensembles. Le salon infirmier par 2 fois, une application « le guide IADE », un site de calots de bloc avec une réduction pour toute commande. C’est aussi le relais de congrès utiles à la profession.

La SOFIA a mis en place un relationnel avec des décisionnaires, des politiques, des structures influant le jeu de la profession. C’est un vrai travail de fond. Dès lors, ceux qui souhaitent approfondir les choses s’ils les considèrent comme insuffisantes, sont les bienvenus pour intégrer le bureau de la SOFIA.

Enfin et surtout, la SOFIA c’est une liberté de ton qui garantit son indépendance, sans ingérence aucune. Qu’elle soit médicale ou autre.

C’est son ADN. Impossible dès lors de changer ceci.

AB