Société Française des Infirmier(e)s Anesthésistes
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Règlement de compte à ONI corral

Onirologie : la science des rêves se pratique au plus haut sommet des instances ordinales de France.

On tente de nous faire croire que les inscrits vont être légions, que l’argent va entrer en masse.

En fait il n’en est rien et la présidente, Mme Le Boeuf, est de plus en plus contestée par des CDOI ou des CROI qui ouvrent les yeux sur le désastre annoncé.

Les lettres ouvertes fusent, les réponses cinglantes également. Certains préparent la retraite de Russie, faute de réussie.

Mais il faut y voir toutefois, non pas une capitulation mais un soucis d’appâter les foules, de les amadouer afin de mieux les circonscrire et les circonvenir.

Car une fois dans les rets, point de salut. L’ONI, universelle aragne, comme Louis XI, le talent en moins, tente de refaire le coup de l’homme de Plessis-lez-Tours, face à la guerre de sans dons, et d’unifier son royaume.

Alors on s’agite, et on publie entre CDOI et CROI. Le trône est visé. On cherche à le faire vaciller.

Car il faut sauver le soldat ONI.

Le CDOI 24 écrit en date du 19 février 2011 (les fautes d’orthographe sont fournies avec...)

Sans sombrer dans une cotisation symbolique, ce qui
serait, à tous points de vue, ridicule, nous devons trouver
un compromis qui permette une « sortie de crise »
honorable. Notre avenir en dépend.

Dans un contexte éminemment « politique », il convient d’avoir une réaction« politique »on ne pourra plus nous reprocher d’être
braqué
et nous reprendrons la main. La cotisation pourrait,
par exemple, être baissé à 50 euros pour tout le monde, ou
encore rester fixée à 75 euros pour les libéraux (qui ne
font pas trop de difficultés) et fixée à 30 euros pour les
salariés, peut
(sic) importe...

Il faut d’abord que notre Ordre
s’installe dans le paysage et dans les meurs
(re sic) de notre
profession. Il y aura toujours des rebelles, le vieil Ordre de
médecins en a toujours, mais aujourd’hui, il nous
appartient de faire abstraction des blessures du présent
pour construire notre avenir. Nous disposons maintenant
enfin, d’un inestimable moyen de valoriser notre
profession, ne prenons pas le risque de compromettre
l’avenir de ceux qui vont nous suivre par une attitude
rigide et dangereuse.
Par ailleurs les cotisations pourront évoluer avec le temps et c’est du temps qu’il nous faut.

bel aveu qui permettrait de dire qu’une fois les brebis égarées, rentrées dans la bergerie ONI, le gardien du troupeau fermera la porte et affichera le prix du séjour comme bon lui semblera.

La prise d’otages est organisée en douce.

Il y aura t-il un GIGN (groupement infirmier général national) pour nous libérer ?

A suivre, dès le 28 mars avec la réunion à l’ONI qui ne manquera pas d’intérêts.

Car je me suis laissé dire que certains élus affûtent leur candidature pour être, enfin, calife à la place du calife. Point de primaire. Un putsch ?

ps : Je vous livre ici, un extrait d’un mail interne d’un CROI (je garderai le silence sur la provenance) qui confirme le ras-le-bol quasi général, qu’inspire la gouvernance de madame Le Boeuf.

[...] Vous connaissez ma position sur la politique menée par notre présidente et du coup par le CNOI, [...] Pour ma part ce sentiment est toujours le même :
 nous sommes complétement isolé
 aucune remise en question de CNOI et de sa politique
 malgré des interventions de députés, de président de commission, d’avertissement rien n’y fait
 nous "représentons" une petite partie des professionnels et encore moins de cotisant,

Pour moi, la politique menée et la liberté prise par notre présidente est loin de ce que l’Ordre pouvait représenter à mes yeux. Je suis contre cette politique et il me semble, pour la survie de notre ordre si cela est encore possible, nécessaire de le dire.

AB

illustrations
 F’murr, le génie des alpages
 Got et Petillon, le baron noir
 Tabary Goscinny, Iznogoud